Sommes-nous vraiment libres ? — Une réflexion de Paul Zahiri

Sommes-nous vraiment libres ? — Une réflexion de Paul Zahiri

Introduction

Dans ce texte percutant, Paul Zahiri questionne notre liberté individuelle et dévoile une tyrannie invisible qui nous dicte nos pensées et nos comportements. Sommes-nous réellement libres, ou sommes-nous prisonniers d’un système qui nous façonne à notre insu ?

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La sunousia du dialogue : l’antidote au désert encyclopédique des réseaux sociaux

La sunousia du dialogue : l’antidote au désert encyclopédique des réseaux sociaux

🖋️ Introduction pour le lecteur

À l’heure où les réseaux sociaux façonnent nos manières de dialoguer et de penser, la réflexion de Paul Zahiri nous invite à redonner à la pensée son souffle véritable : celui du dialogue fécond et de la médiation partagée. Il nous alerte sur les dangers du bavardage et la futilité qui menacent l’espace public numérique, et nous rappelle que la pensée exige rigueur, dialogue et profondeur pour s’épanouir.

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La sagesse des anciens et la transmission du savoir en déclin

La sagesse des anciens et la transmission du savoir en déclin

Dans les temps anciens, c'était, par définition, les personnes les plus âgées qui transmettaient les connaissances, et le savoir, aux générations plus jeunes. Tel le regretté Amadou Hampaté Bâ, cet initié ésotérique supérieur, qui appartenait à une famille de peuls traditionalistes. Qui est devenu un sage unanimement respecté en Afrique noire, et ailleurs dans le monde.

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Treichville, si je t'oublie...

Treichville, si je t'oublie...

Treichville, et je me rappelle, et je me rappellerai toujours cette belle cité, ce quartier qui fut le jardin de mon enfance et qui s'est érigé depuis en commune. Treichville, avec ses avenues, ses rues, et d'autres rues dites barrées. Ce quartier est gravé dans ma mémoire, et voici pourquoi.

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La Vertu comme Fondement de la République.

A la différence de l’honneur, qui est le principe de la monarchie, et contrairement à la crainte, qui est le principe du despotisme, et à la terreur, qui est le principe de la dictature, la République a la vertu pour principe. En ce sens sa survie repose sur des consciences, qui se doivent d'être vertueuses.

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La Côte d’Ivoire face à ses maux : une convalescence incertaine

La Côte d’Ivoire face à ses maux : une convalescence incertaine

La Côte d’Ivoire n’est toujours pas remise de ses maux, et sa convalescence prendra encore beaucoup de temps. La fracture nationale, ethnique et sociologique est visible, et rien n’indique qu’elle va s’atténuer et se ressouder.

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